Hôtel particulier

À mi-chemin entre Nantes et Ancenis, sur les bords de Loire, une villa Belle Époque remarquablement restaurée et ses maisons d'ami.

Derrière une première grille qui donne sur la rue, une allée bordée de haies mène à une seconde grille, soutenue par deux piliers en pierre sèche. Le parc se découvre alors, avec d'un côté un vaste et profond garage, un préau et un atelier ainsi que deux maisons d'amis aménagées dans les anciennes écuries. Au fond, la sobre façade arrière de la villa ferme la perspective sur la partie haute du parc.
En déclivité, celui-ci contourne la demeure des deux côtés, réserve un espace pour la piscine et son pool house, ménage une large terrasse devant la façade face à la Loire, puis descend jusqu'au mur d'enceinte. En contrebas de la terrasse, deux rangées d'arbres centenaires encadrent un élégant tapis de pelouse. Enfin, percé dans le mur d'enceinte, un portillon ouvre un accès à la rue qui mène à la gare.
Villégiature érigée en 1899 pour un industriel nantais, la demeure est composée d'un corps de logis à base rectangulaire précédé de deux tourelles semi-octogonales que relie une travée centrale à l'avant, côté Loire, et qui semblent former un décor en avant-corps. Édifiée presque intégralement en tuffeau sur un soubassement en granit, elle est élevée de deux niveaux. La toiture d'ardoises est à quatre pans pour le corps arrière. Les tourelles sont coiffées chacune d'un toit en pavillon et la travée centrale, qui abrite dans une niche en façade une